Lorenzo MARASCO

Team N'side

4e

« Je suis venu sur cette épreuve avec en tête les première et dernière étapes. Ce sont celles qui me conviennent le mieux. Pour le reste, je serai là en tant qu’équipier, pour aider le collectif.

J’ai essayé de rester bien placé toute l’étape. On avait un mec dans l’échappée, Carson (Miles), c’était parfait pour nous. Quand l’échappée a été reprise, j’ai tâché de toujours rester bien placé aux avant-postes au cas où un coup ressortirait.

L’approche du sprint a été houleuse. Je suis bien remonté aux 600 mètres et je me suis retrouvé dans la roue de David Menut. Mais il a déraillé. Je l’ai passé sur la droite et après, j’ai fait du mieux que j’ai pu pour remonter des places mais j’arrivais de trop loin. Peut-être qu’en étant mieux placé à la flamme rouge, j’aurais pu espérer autre-chose mais je suis quand même satisfait.

Maintenant, place au chrono cet après-midi. On va essayer de faire au mieux et perdre le moins de temps possible. On aura trois mecs avec des vélos de chrono et les trois autres sur vélos traditionnels. Mais on est forts, on peut faire un bon résultat. On a gagné la manche de Coupe de France N2 dans la discipline. C’est un chrono qui nous plaît et on va se battre pour bien faire. »

L. MARASCO

Gauthier NAVARRO

Béziers Méditerranée Cyclisme

9e - Leader du classement de la montagne - notre photo -

« C’était une étape un peu bizarre. Je me suis retrouvé dans l’échappée dès le début. On était nombreux avec beaucoup d’équipes représentées. Je pensais qu’on irait au bout. On s’est fait reprendre à 30 kilomètres de l’arrivée. On s’est donc dirigé vers un sprint massif. Je n’avais pas prévu de le disputer mais je me suis retrouvé dans la bonne vague et je me suis dit : « Pourquoi pas ? ». Finalement, je n’ai pas réussi à sortir, je suis resté enfermé et je termine 9e.

Je me retrouve quand même sur le podium protocolaire avec le maillot à pois. Ce n’était pas prévu. Mais une fois à l’avant, j’ai joué le coup. C’est toujours ça de pris. Maintenant que je l’ai sur les épaules, je vais essayer de le défendre. »

G. NAVARRO