Jérémy Bellicaud : « Beaucoup de plaisir »

Crédit photo Amélie Barbotin - Photographies

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Jérémy Bellicaud a bouclé sa première saison en Elites avec l’Océane Top 16. S’il a commencé à courir en deuxième catégorie au début de la saison, il a très vite gagné ses quatre courses au début du printemps juste avant de disputer la Ronde de l’Isard avec une 12e place au classement général. “C’était une bonne chose de commencer en 2e car j’ai pris de la confiance et l’enchaînement avec la Ronde de l’Isard m’a bien lancé”, déclare-t-il à DirectVelo.

« UNE ANNÉE D’APPRENTISSAGE »

Un mois plus tard, il a confirmé en prenant la 15e place du Tour du Pays Roannais en Coupe de France DN1. “J’ai fait une belle première journée même si j’ai beaucoup souffert en début de course. Je me suis accroché avec les meilleurs. C’était une année d’apprentissage pour moi et je pense que ce sont ces courses difficiles qui vont me correspondre dans le futur. Même si grâce à cette saison, je sens que j’ai pris de la puissance”.

Le grimpeur a poursuivi sur sa lancée tout l’été sur les courses Elites Nationales. “J’ai pris beaucoup de plaisir ! C’était super de pouvoir découvrir des courses comme le Piémont Pyrénéen par exemple. Je n’ai eu qu’un coup de mou pendant le mois de juillet mais j’ai pu retrouver la forme à la fin de l’été. C’était une bonne saison d’apprentissage”.

« MOTIVANT DE COURIR AVEC L’ÉQUIPE »

Jérémy Bellicaud pour sa première année Espoirs a aussi pu profiter de la très bonne saison de son équipe. Finalement, les coureurs de Stéphane Bauchaud ont pris la deuxième place du Challenge BBB-DirectVelo. “C’était vraiment motivant de courir dans une équipe en pleine confiance. Je crois que nous n’avions jamais gagné autant de course dans une saison. C’est l’idéal pour apprendre. En général, je restais assez libre et quand je pouvais aider, je le faisais sans hésiter. C’est une bonne manière pour courir sans complexe”, assure-t-il.

Depuis la rentrée, l’étudiant en STAPS s’est lancé dans sa deuxième année. Un équilibre qui lui va bien. “Ils sont assez arrangeant sur les horaires et j’arrive à gérer mes heures de sport à la fac. En ce moment, je suis en coupure. J’en profite pour ne pas parler vélo car même si je n’ai pas fait l’ensemble de la saison en Elites, j’ai compris que ça pouvait devenir long. C’est surtout usant mentalement. C’est pour ça que j’en profite pour recharger les batteries maintenant”.

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