Van Rysel-Arden Challenge #3 : Les réactions
Tomas De Neve (VDM-Trawobo CT) s'est imposé, ce vendredi, lors de la troisième manche du Van Rysel-Arden Challenge (1.12B), disputée autour d'Érezée (Province du Luxembourg) sur une distance de 120 kilomètres (voir classement). Il a devancé Kristoffer M Skjerping (Team Kjekkas) et Tom Paquet (Team N'side). Aller à la réaction de : « J'ai utilisé la même stratégie qui m'avait permis de faire deuxième l'an dernier. Je savais qu'en bas de la descente, dans les premiers mètres de la montée, il y a un souvent un moment de flottement. C'est cet instant là que je voulais utiliser pour faire un écart. C'est bien ce qui s'est passé aujourd'hui (vendredi). J'ai terminé deuxième hier, je n'avais pas de doute sur ma condition. Je suis super heureux, il s'agit de ma première victoire de la saison. Ce jour était coché depuis longtemps dans mon agenda. Cela fait plusieurs semaines que j'y pensais. C'est vraiment super de pouvoir gagner en réalisant le plan pré-établi ». « On était un groupe d'une vingtaine de bons coureurs. Personne n'hésitait, on a roulé à bloc. En plus, mes concurrents directs pour le classement général étaient absents. J'ai espéré que l'on aille au bout. Mais le peloton était trop fort et est revenu. Je termine cinquième, c'est bien. Le but est atteint. Je voulais conserver la tête du classement, je l'ai fait. Il y a eu une grosse course à la position avant la dernière montée. Ça a joué des coudes durant plusieurs kilomètres ». « C'était très difficile de faire la différence. On avait pourtant réussi à faire un trou dans le dernier tour. Puis, je ne sais pas trop qui a roulé dans le peloton parce qu'il y avait beaucoup de coureurs dans l'échappée. On roulait vraiment fort. La descente après la Baraque Fraiture était trop longue que pour nous permettre d'aborder la dernière montée vers l'arrivée avec un avantage sur le peloton. C'est dommage. Une fois revu, je ne voulais pas sprinter dans le peloton car cela demandait de prendre beaucoup de risques pour se positionner en bas de la descente, et ce n'est clairement pas mon point fort. Notre volonté était de durcir la course un maximum, mais visiblement ce n'était pas possible ».
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