Julien Roux a fait le spectacle
Crédit photo Nicolas Gachet - DirectVelo
Julien Roux (CR4C Roanne) a tout fait vendredi sur la deuxième étape du Tour de Savoie Mont-Blanc (2.2). Il a même pris le temps de se baisser pour ramasser la casquette de l'organisateur Patrice Pion qui venait de chuter sur la route. "C'était pour le spectacle", sourit celui qui était alors seul en tête à Montagnole (km 48). Un geste qui lui a permis de repartir avec le prix du fair-play.
L'Isérois, formé au Chambéry CC, ne voulait pas manquer l'échappée. "J'avais coché cette étape, reconnaît-il. Je connaissais bien le parcours. Je roule sur ces routes depuis que je suis enfant". Ce vendredi, entre Barby et la station de la Féclaz, il avait donc à cœur de "faire toutes les descentes et prendre un maximum de plaisir".
Présent dans la bonne échappée partie dès le début de course, Julien Roux est ressorti seul dans la montée vers Saint-Cassin. Repris 18 kilomètres plus loin, il est ensuite reparti à plusieurs reprises. "Je voulais prendre de l'avance, indique le coureur âgé de 21 ans. Je voulais monter à mon rythme pour m'économiser".
Il a encore été cité sur les ondes de radio-tour dans la traversée de Curienne (km 84). "Mais Nans (Peters) m'a pris quelques longueurs, et je n'ai jamais pu revenir. Je n'arrivais plus à relancer dans la descente. Mes trajectoires n'étaient pas bien belles", rapporte-t-il.
A la maison, Julien Roux a confirmé sa montée en puissance. "Le travail réalisé avec mon entraîneur, Clément Dupuy, paie. Nous avons fait beaucoup de spécifiques. Il a su trouver un bon rythme d'entraînement, qui me convient parfaitement. Nous avons pu passer des paliers", apprécie l'ex-sociétaire du Chambéry CF.
Ces deux dernières saisons, Julien Roux indique avoir connu "beaucoup de problèmes de santé" dont des tendinites. "Je touche du bois mais je n'ai pas eu de soucis cette année", fait savoir celui qui vient de terminer 2e d'étape sur le Tour d'Eure-et-Loir (Coupe de France).
Désormais, le Roannais veut lever les bras. "J'ai du gagner cinq-six courses dans ma vie alors que j'ai commencé le vélo à l'âge de sept ans, glisse-t-il. Cela me ferait plaisir d'en gagner quelques unes !".
L'Isérois, formé au Chambéry CC, ne voulait pas manquer l'échappée. "J'avais coché cette étape, reconnaît-il. Je connaissais bien le parcours. Je roule sur ces routes depuis que je suis enfant". Ce vendredi, entre Barby et la station de la Féclaz, il avait donc à cœur de "faire toutes les descentes et prendre un maximum de plaisir".
Présent dans la bonne échappée partie dès le début de course, Julien Roux est ressorti seul dans la montée vers Saint-Cassin. Repris 18 kilomètres plus loin, il est ensuite reparti à plusieurs reprises. "Je voulais prendre de l'avance, indique le coureur âgé de 21 ans. Je voulais monter à mon rythme pour m'économiser".
Il a encore été cité sur les ondes de radio-tour dans la traversée de Curienne (km 84). "Mais Nans (Peters) m'a pris quelques longueurs, et je n'ai jamais pu revenir. Je n'arrivais plus à relancer dans la descente. Mes trajectoires n'étaient pas bien belles", rapporte-t-il.
A la maison, Julien Roux a confirmé sa montée en puissance. "Le travail réalisé avec mon entraîneur, Clément Dupuy, paie. Nous avons fait beaucoup de spécifiques. Il a su trouver un bon rythme d'entraînement, qui me convient parfaitement. Nous avons pu passer des paliers", apprécie l'ex-sociétaire du Chambéry CF.
Ces deux dernières saisons, Julien Roux indique avoir connu "beaucoup de problèmes de santé" dont des tendinites. "Je touche du bois mais je n'ai pas eu de soucis cette année", fait savoir celui qui vient de terminer 2e d'étape sur le Tour d'Eure-et-Loir (Coupe de France).
Désormais, le Roannais veut lever les bras. "J'ai du gagner cinq-six courses dans ma vie alors que j'ai commencé le vélo à l'âge de sept ans, glisse-t-il. Cela me ferait plaisir d'en gagner quelques unes !".
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