Victor Lafay : « Vivre à fond 2016 »
Crédit photo Nicolas Gachet - DirectVelo
Victor Lafay retrouve des jambes. La semaine dernière, il s'est senti à l'aise dans les cols du Tour du Val d'Aoste (2.2U). Le grimpeur du CCF apprécie à sa juste valeur la 17e place obtenue au classement général. "C'est une satisfaction, assure-t-il à DirectVelo. Même si la dernière étape dimanche a été un peu plus compliquée, je suis très content de l'étape de samedi, probablement la plus difficile, sur laquelle j'accroche un Top 10 (8e)."
Le Haut-Savoyard assure avoir des "bonnes jambes". Seul le rythme lui manque encore. "Ceci s'explique par le peu de courses réalisées sur la dernière année et demi, glisse-t-il. Cela va évidemment se régler naturellement en courant le plus possible". Le vainqueur de l'Ain'Ternational Valromey Tour 2014 est sorti de plus d'une année sans réel cyclisme de haut-niveau, la faute à une douleur lancinante au niveau de la cuisse (voir ici).
Sa première année Espoir censée être celle de la découverte de la catégorie ainsi que de l'acquisition du niveau foncier en rapport a presque été une saison blanche. "Si je me dis que cette seconde saison Espoir est une saison de reprise qui prépare la suivante, je ne m'en sors plus. Certes j'ai repris tard, certes j'estime mon niveau - pas tellement au niveau des jambes mais plutôt au niveau du rythme - à quelque chose comme 80 %, mais malgré tout je veux vivre à fond cette saison Espoir 2 et cela en tant que telle", affirme le coureur de 20 ans. Car c'est bien là l'essentiel pour Victor Lafay : aucune douleur ressentie, même minime, que ce soit sur les courses ou à l'entraînement. A tel point qu'il en à même terminé avec les séances très régulières de kinésithérapie.
Preuve supplémentaire que son souci de santé est bel et bien derrière lui, il enchaîne depuis jeudi soir avec le Tour d'Auvergne qui se court jusqu'à dimanche. "Le parcours n'est pas forcément taillé pour de purs grimpeurs, notamment les étapes 3 et 4, mais c'est malgré tout un terrain assez propice pour moi. Pour une place au général, il y a sans doute mieux placé que moi dans l'équipe pour y prétendre. Je vais donc me mettre au service du collectif mais également tenter d'accrocher une place sur une des deux premières étapes. A moi d'intégrer la bonne échappée", analysait-il avant que son coéquipier Kevin Geniets remporte le prologue (voir le classement).
Le Haut-Savoyard assure avoir des "bonnes jambes". Seul le rythme lui manque encore. "Ceci s'explique par le peu de courses réalisées sur la dernière année et demi, glisse-t-il. Cela va évidemment se régler naturellement en courant le plus possible". Le vainqueur de l'Ain'Ternational Valromey Tour 2014 est sorti de plus d'une année sans réel cyclisme de haut-niveau, la faute à une douleur lancinante au niveau de la cuisse (voir ici).
Sa première année Espoir censée être celle de la découverte de la catégorie ainsi que de l'acquisition du niveau foncier en rapport a presque été une saison blanche. "Si je me dis que cette seconde saison Espoir est une saison de reprise qui prépare la suivante, je ne m'en sors plus. Certes j'ai repris tard, certes j'estime mon niveau - pas tellement au niveau des jambes mais plutôt au niveau du rythme - à quelque chose comme 80 %, mais malgré tout je veux vivre à fond cette saison Espoir 2 et cela en tant que telle", affirme le coureur de 20 ans. Car c'est bien là l'essentiel pour Victor Lafay : aucune douleur ressentie, même minime, que ce soit sur les courses ou à l'entraînement. A tel point qu'il en à même terminé avec les séances très régulières de kinésithérapie.
Preuve supplémentaire que son souci de santé est bel et bien derrière lui, il enchaîne depuis jeudi soir avec le Tour d'Auvergne qui se court jusqu'à dimanche. "Le parcours n'est pas forcément taillé pour de purs grimpeurs, notamment les étapes 3 et 4, mais c'est malgré tout un terrain assez propice pour moi. Pour une place au général, il y a sans doute mieux placé que moi dans l'équipe pour y prétendre. Je vais donc me mettre au service du collectif mais également tenter d'accrocher une place sur une des deux premières étapes. A moi d'intégrer la bonne échappée", analysait-il avant que son coéquipier Kevin Geniets remporte le prologue (voir le classement).