Dorian Foulon : « Passer un cap avec les valides »
Derrière l'intouchable Groupama-FDJ, Dorian Foulon a été l'un des hommes du premier week-end de l'Essor Basque. "J'avais de bonnes sensations, apprécie-t-il au micro de DirectVelo. Aux Boucles de l'Essor, samedi, je me suis fait avoir d'entrée par une cassure mais j'ai tout de même senti que j'étais bien. Je suis ressorti avec un gros groupe de contre. Comme j'ai une pointe de vitesse, j'ai pu remporter le sprint du groupe et terminer 8e de la course".
Ce dimanche, au Circuit de l'Essor, le coureur licencié à l'Urt Vélo 64 avait une nouvelle fois "envie de bien faire". Pendant tout le week-end, il évoluait sur ses routes d'entraînement. Il n'était pas question pour lui de manquer cette fois-ci la bonne échappée. "Alexys (Brunel) a attaqué dans la première bosse. J'ai vu Maxime Urruty et Romain Campistrous y aller. J'ai donc fait l'effort pour rentrer car il y avait les principales équipes à l'avant", rapporte-t-il.
TOKYO COMME OBJECTIF
Une fois à l'avant, le membre de l'Entente 64 (DN3) a collaboré avec ses compagnons de fugue. "J'ai fait au mieux. Je ne voulais pas lâcher car j'étais encouragé. Je suis un peu déçu de ma place mais c'est de bon augure", indique le coureur 17e de l'épreuve remportée par Alexys Brunel, après avoir été distancé à une vingtaine de kilomètres de l'arrivée.
L'Aquitain de 20 ans vient de débuter sa troisièmé année chez les Espoirs. Le coureur né avec un pied bot s'est fixé deux objectifs en 2019. "Je veux passer un cap chez les valides et je tâche de préparer au mieux les Jeux Paralympiques de Tokyo", confie le coureur qui a participé à un stage avec Arkéa-Samsic qui l'accompagne depuis cette année.
PLUS DE FORCE
Dorian Foulon a passé une bonne partie de son hiver sur la piste, à Anoeta (Espagne) et à Bordeaux (Gironde). "J'ai donc fait du spécifique alors j'avais peur de ne pas avoir la distance dans les jambes sur l'Essor Basque mais ça s'est bien passé. Je prépare la poursuite pour les Jeux. Dans cette optique, j'ai fait beaucoup de préparation physique cet hiver, j'ai pris du muscle. Ça m'a donné de la force, et ça me permet d'être plus à l'aise et d'être à l'avant sur une Elite Nationale", apprécie le 6e du Grand Prix de la Tomate à Marmande (Coupe de France DN3), en 2018. Sa performance ce dimanche a été remarquée. Il a reçu les félicitations du clan Groupama-FDJ.
Pendant l'intersaison, il a choisi de rester en DN3 pour préparer au mieux les Jeux Paralympiques de 2020. "Cette année, j'ai des ambitions sur les épreuves Elites Nationales et les manches de la Coupe de France DN3. Le circuit de la première manche, la Vienne Classic, me plaît. C'est vallonné et il y a une belle bosse d'arrivée. J'espère faire un bon résultat là-bas", conclut-il.
Ce dimanche, au Circuit de l'Essor, le coureur licencié à l'Urt Vélo 64 avait une nouvelle fois "envie de bien faire". Pendant tout le week-end, il évoluait sur ses routes d'entraînement. Il n'était pas question pour lui de manquer cette fois-ci la bonne échappée. "Alexys (Brunel) a attaqué dans la première bosse. J'ai vu Maxime Urruty et Romain Campistrous y aller. J'ai donc fait l'effort pour rentrer car il y avait les principales équipes à l'avant", rapporte-t-il.
TOKYO COMME OBJECTIF
Une fois à l'avant, le membre de l'Entente 64 (DN3) a collaboré avec ses compagnons de fugue. "J'ai fait au mieux. Je ne voulais pas lâcher car j'étais encouragé. Je suis un peu déçu de ma place mais c'est de bon augure", indique le coureur 17e de l'épreuve remportée par Alexys Brunel, après avoir été distancé à une vingtaine de kilomètres de l'arrivée.
L'Aquitain de 20 ans vient de débuter sa troisièmé année chez les Espoirs. Le coureur né avec un pied bot s'est fixé deux objectifs en 2019. "Je veux passer un cap chez les valides et je tâche de préparer au mieux les Jeux Paralympiques de Tokyo", confie le coureur qui a participé à un stage avec Arkéa-Samsic qui l'accompagne depuis cette année.
PLUS DE FORCE
Dorian Foulon a passé une bonne partie de son hiver sur la piste, à Anoeta (Espagne) et à Bordeaux (Gironde). "J'ai donc fait du spécifique alors j'avais peur de ne pas avoir la distance dans les jambes sur l'Essor Basque mais ça s'est bien passé. Je prépare la poursuite pour les Jeux. Dans cette optique, j'ai fait beaucoup de préparation physique cet hiver, j'ai pris du muscle. Ça m'a donné de la force, et ça me permet d'être plus à l'aise et d'être à l'avant sur une Elite Nationale", apprécie le 6e du Grand Prix de la Tomate à Marmande (Coupe de France DN3), en 2018. Sa performance ce dimanche a été remarquée. Il a reçu les félicitations du clan Groupama-FDJ.
Pendant l'intersaison, il a choisi de rester en DN3 pour préparer au mieux les Jeux Paralympiques de 2020. "Cette année, j'ai des ambitions sur les épreuves Elites Nationales et les manches de la Coupe de France DN3. Le circuit de la première manche, la Vienne Classic, me plaît. C'est vallonné et il y a une belle bosse d'arrivée. J'espère faire un bon résultat là-bas", conclut-il.