Mathieu Van der Poel : « Je serai battu un jour »
Vainqueur en solitaire ce dimanche à Coxyde, Mathieu Van der Poel (Beobank-Corendon) poursuit sa belle série de trois victoires en autant de manches de Coupe du Monde cette saison. Très vorace depuis le début de l'exercice 2017-2018, il avait tout de même subi un revers ce samedi à l'occasion de la troisième manche du Superprestige. Sa chute sur le sol dur de Boom et l’appétit retrouvé de Wout Van Aert laissaient entrevoir un nouveau duel ce dimanche à Coxyde.
Finalement, le Néerlandais s'est très vite remis. "J'ai soigné ma blessure musculaire avec des tapes. C'était la seule solution pour me soulager. Aujourd'hui, je me suis senti déjà beaucoup mieux." Une fois de plus, il s'est envolé vers la victoire très tôt dans la course. "Ce n'était pourtant pas une réelle stratégie de lâcher les autres dès le début, assure-t-il. Dans le sable quand le premier fait une erreur, le deuxième est gêné. Je suis fort dans le sable, c'est donc mieux d'imprimer le tempo". Conséquence de cette tactique, Wout Van Aert est lâché dès le deuxième tour. "Je ne m'y attendais pas. Mais ici en une seule erreur, on peut perdre très rapidement dix secondes", déclare Van der Poel.
WOUT VAN AERT EST MOINS EN JAMBES
La question est maintenant de savoir jusqu'à quand le Batave va bien pouvoir tenir cette allure. "Cette forme, je peux la maintenir de bout en bout, assure-t-il. Mon encadrement est du même avis. L'an dernier, c'était bien la cas. Mais attention, tout peut très vite retomber. Il suffit d'être malade quelques jours pour être en difficulté pendant plusieurs semaines". Pas inquiet du manque de concurrence, il ajoute : "Je sais que je serai encore battu un jour, même dans ma meilleure condition et sans ennuis."
De son côté, Wout Van Aert veut se rapprocher de son rival désigné. "Oui, je suis moins en jambes que l'an dernier. Cependant, je pense que l'écart s'est résorbé depuis les premiers cross. Aujourd'hui, ça ne s'est pas vu car j'avais peu récupéré d'hier (samedi). Cela dit, je montre que je suis toujours présent en étant sur le podium. Je vise maintenant un retour à ma meilleure condition pour la période des Championnats." Que pense le Belge de l'enchaînement de son rival néerlandais ? "Se battre pour tous les classements, c'est difficile. On y laisse de l'influx."
Finalement, le Néerlandais s'est très vite remis. "J'ai soigné ma blessure musculaire avec des tapes. C'était la seule solution pour me soulager. Aujourd'hui, je me suis senti déjà beaucoup mieux." Une fois de plus, il s'est envolé vers la victoire très tôt dans la course. "Ce n'était pourtant pas une réelle stratégie de lâcher les autres dès le début, assure-t-il. Dans le sable quand le premier fait une erreur, le deuxième est gêné. Je suis fort dans le sable, c'est donc mieux d'imprimer le tempo". Conséquence de cette tactique, Wout Van Aert est lâché dès le deuxième tour. "Je ne m'y attendais pas. Mais ici en une seule erreur, on peut perdre très rapidement dix secondes", déclare Van der Poel.
WOUT VAN AERT EST MOINS EN JAMBES
La question est maintenant de savoir jusqu'à quand le Batave va bien pouvoir tenir cette allure. "Cette forme, je peux la maintenir de bout en bout, assure-t-il. Mon encadrement est du même avis. L'an dernier, c'était bien la cas. Mais attention, tout peut très vite retomber. Il suffit d'être malade quelques jours pour être en difficulté pendant plusieurs semaines". Pas inquiet du manque de concurrence, il ajoute : "Je sais que je serai encore battu un jour, même dans ma meilleure condition et sans ennuis."
De son côté, Wout Van Aert veut se rapprocher de son rival désigné. "Oui, je suis moins en jambes que l'an dernier. Cependant, je pense que l'écart s'est résorbé depuis les premiers cross. Aujourd'hui, ça ne s'est pas vu car j'avais peu récupéré d'hier (samedi). Cela dit, je montre que je suis toujours présent en étant sur le podium. Je vise maintenant un retour à ma meilleure condition pour la période des Championnats." Que pense le Belge de l'enchaînement de son rival néerlandais ? "Se battre pour tous les classements, c'est difficile. On y laisse de l'influx."