Tour de l'Avenir - Et. 6 : Les réactions

Crédit photo Elisa Haumesser - Tour de l'Avenir

Crédit photo Elisa Haumesser - Tour de l'Avenir

Alessandro Covi (Italie) a remporté, ce mercredi, la sixième étape du Tour de l'Avenir (Coupe des Nations Espoirs), disputée sur une distance de 181,1 kilomètres entre le Blanc (Indre) et Cérilly (Allier). Il a devancé Mark Downey (Irlande) et Simon Guglielmi (France). Retrouvez ci-dessous les réactions de Jonas Gregaard Wilsly (Danemark) et Alan Riou (France).

Jonas Gregaard Wilsly (Danemark)
5e de l'étape et 4e du général
« Ce n'était pas prévu d'aller dans l'échappée avec deux de mes coéquipiers, Mikkel Bjerg et Magnus Bak Klaris. Soudainement, nous nous sommes retrouvés en bonne position. Et puis, je me suis dit qu'on pouvait récupérer quelques secondes ou minutes. Nous avons donc tout donné jusqu'à la fin. C'était une dure journée. Nous avons aussi essayé de jouer la victoire d'étape mais nous étions fatigués car nous avons beaucoup travaillé. Les autres échappés sont souvent restés dans la roue, notamment Alessandro Covi (Italie) et Simon Guglielmi (France) qui nous disaient qu'il avait un sprinteur, mais nous avons aussi un sprinteur de notre côté. Je suis le leader pour le classement général dans mon équipe. Je ne pense pas avoir dépensé trop d'énergie avant les étapes de montagne. Je suis en bonne forme et je pense que c'était aussi une journée difficile dans le peloton. En outre, nous avons beaucoup de temps pour récupérer avec la prochaine étape qui partira tard. Demain, l'étape est très courte, on verra bien comment ça se passe. »

Alan Riou (France) -notre photo-
Maillot jaune
« C'était vraiment une étape très dure. Au début, nous nous avons été piégés avec un coup qui est parti où nous n'étions pas représentés. Du coup, Marlon Gaillard et Pierre Idjouadiène ont imprimé un gros rythme avant le deuxième GPM. Ensuite, j'ai bouché l'écart en attaquant dans la bosse, ça a permis de tout regrouper. Par la suite, une nouvelle échappée est sortie où nous étions présents cette fois-ci avec Simon Guglielmi. Du coup, nous n'avions plus à rouler. Les équipes qui avaient des grimpeurs ont roulé à l'avant du peloton comme les Colombiens, les Belges, les Suisses et les Slovènes. Le peloton était en file indienne, on prenait pas mal de vent. Tout le monde a fini un peu cramé. Le but était de garder le maillot jaune et le maillot vert de Damien Touzé, ainsi que de jouer l'étape. Le plus facile est passé mais ce n'était quand même pas évident. Le plus dur arrive maintenant. Demain, il va falloir se faire mal. C'est cool d'avoir déjà porté autant de jours le maillot jaune. »

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