Damien Gaudin a « encore faim de victoire »
Damien Gaudin n'est pas rassasié. Auteur d'une grosse première partie de saison, le sociétaire de l'Armée de Terre continue de gagner. Début août, il s'est imposé sur le prologue du Tour du Portugal, dans les rues de Lisbonne. "Il y a un moment que je n'avais pas disputé une course de dix jours (depuis le Tour de Suisse puis le Tour de France 2015, NDLR). Franchement, ça fait du bien pour préparer la fin de saison. La forme est montée crescendo au Portugal et maintenant, j'ai envie de faire quelque chose sur le Tour du Poitou-Charentes car je pense vraiment que le Portugal m'a apporté beaucoup en terme de forme", explique-t-il auprès de DirectVelo.
« ON PEUT VISER UN TOP 10 »
Celui qui vient de fêter ses 31 ans dimanche dernier a pour ambition de jouer le classement général de ce "TPC", lui qui avait terminé 12e il y a deux ans. "Le Tour du Poitou-Charentes est une course qui m'a toujours bien réussi. Ici, ça se joue souvent sur le contre-la-montre. L'idée, c'est de faire deux premières journées à rester bien au chaud pour arriver dans le même temps que tout le monde avant le chrono puis ensuite, j'essaierai de jouer un bon classement général", précise celui qui a évité les pièges et les chutes sur la première journée de course pour finalement terminer dans le premier peloton.
Jeudi après-midi, sur un chrono de 20,6 kilomètres, il sera l'une des deux cartes des militaires, avec Thomas Rostollan. "On peut viser un Top 10. Je pense que c'est notre place. J'ai déjà fait des places ici. Si j'ai vraiment de superbes jambes, je peux espérer un Top 5 mais on verra bien comment ça se passe".
« J'AI APPRIS LE VÉLO PANACHE LA-BAS »
Pour Damien Gaudin, la motivation reste la même en cette fin d'année, bien qu'il ait annoncé quitter l'équipe de l'Armée de Terre en fin de saison pour retrouver son ancienne formation, Direct Energie. "J'ai d'abord une saison à terminer avec l'équipe de l'Armée de Terre. Je me sens vraiment bien dans cette équipe. Quand j'ai annoncé mon départ à David (Lima Da Costa, le manager) en juillet, je lui ai bien dit que j'allais tout faire à bloc jusqu'à octobre et que j'avais encore faim de victoire. La preuve, j'ai gagné au Portugal", tient-il à rappeler.
"On a fait une saison formidable jusqu'à présent mais elle n'est pas encore terminée", ajoute celui qui se réjouit également de son retour du côté de la formation de Jean-René Bernaudeau. "Direct Energie, c'est l'équipe dans laquelle je suis passé professionnel. J'ai appris le vélo panache là-bas. C'est une famille que je connais très bien. J'essaierai de revivre les moments que j'ai pu connaître lors de ma dernière saison chez Europcar (en 2013, NDLR). C'était l'une de mes meilleures années : j'avais gagné le prologue de Paris-Nice et Cholet-Pays de Loire... J'avais aussi terminé 5e de Paris-Roubaix. Je reviens pour revivre ces moments-là. Franchement, j'y retournerai les yeux fermés et avec beaucoup de plaisir".
« ON PEUT VISER UN TOP 10 »
Celui qui vient de fêter ses 31 ans dimanche dernier a pour ambition de jouer le classement général de ce "TPC", lui qui avait terminé 12e il y a deux ans. "Le Tour du Poitou-Charentes est une course qui m'a toujours bien réussi. Ici, ça se joue souvent sur le contre-la-montre. L'idée, c'est de faire deux premières journées à rester bien au chaud pour arriver dans le même temps que tout le monde avant le chrono puis ensuite, j'essaierai de jouer un bon classement général", précise celui qui a évité les pièges et les chutes sur la première journée de course pour finalement terminer dans le premier peloton.
Jeudi après-midi, sur un chrono de 20,6 kilomètres, il sera l'une des deux cartes des militaires, avec Thomas Rostollan. "On peut viser un Top 10. Je pense que c'est notre place. J'ai déjà fait des places ici. Si j'ai vraiment de superbes jambes, je peux espérer un Top 5 mais on verra bien comment ça se passe".
« J'AI APPRIS LE VÉLO PANACHE LA-BAS »
Pour Damien Gaudin, la motivation reste la même en cette fin d'année, bien qu'il ait annoncé quitter l'équipe de l'Armée de Terre en fin de saison pour retrouver son ancienne formation, Direct Energie. "J'ai d'abord une saison à terminer avec l'équipe de l'Armée de Terre. Je me sens vraiment bien dans cette équipe. Quand j'ai annoncé mon départ à David (Lima Da Costa, le manager) en juillet, je lui ai bien dit que j'allais tout faire à bloc jusqu'à octobre et que j'avais encore faim de victoire. La preuve, j'ai gagné au Portugal", tient-il à rappeler.
"On a fait une saison formidable jusqu'à présent mais elle n'est pas encore terminée", ajoute celui qui se réjouit également de son retour du côté de la formation de Jean-René Bernaudeau. "Direct Energie, c'est l'équipe dans laquelle je suis passé professionnel. J'ai appris le vélo panache là-bas. C'est une famille que je connais très bien. J'essaierai de revivre les moments que j'ai pu connaître lors de ma dernière saison chez Europcar (en 2013, NDLR). C'était l'une de mes meilleures années : j'avais gagné le prologue de Paris-Nice et Cholet-Pays de Loire... J'avais aussi terminé 5e de Paris-Roubaix. Je reviens pour revivre ces moments-là. Franchement, j'y retournerai les yeux fermés et avec beaucoup de plaisir".