CC Villeneuve : « Avancer plus sereinement »
Habitué à flirter avec la zone de relégation en DN1, le CC Villeneuve-Saint-Germain a obtenu cette saison la 18e place en Coupe de France DN1, synonyme de maintien sportif. "Ça fait plusieurs saisons que l'on est relégables, mais que l'on arrive à boucler le budget, explique Christophe Eloy, directeur sportif de l'équipe. Sportivement, on a du mal à recruter des coureurs... Le club a fait de gros investissements au niveau du matériel, donc c'est une bonne chose que l'on soit maintenu sportivement. On montre que l'on a notre place en DN1, et cela va permettre de faciliter le contact avec les coureurs".
Les choses ont pourtant failli mal tourner sur l'ultime étape de la Boucle de l'Artois, avec la présence de Vadim Deslandes (Océane Top 16) dans la "bonne" échappée. "Vincent Louiche, notre meilleure carte, a été pris dans la chute au début, commente Eloy. Il a essayé de sortir par la suite, et il s'est retrouvé devant, tout comme Valentin Richard. Finalement, le groupe n'est pas parti, et un coup est sorti avec un gars du Top 16... La situation n'était pas idéale pour nous".
« C'EST TOUJOURS UN RISQUE »
Au terme d'une saison mouvementée pour le club de l'Aisne, le dénouement est pour le moins positif pour Villeneuve, qui a pu compter sur de solides leaders. "C'est compliqué à gérer, admet le directeur sportif du club. Il ne faut pas avoir d'ennui, les manches sont parfois loin. Certains coureurs préfèrent avoir des objectifs différents... On avait recruté Alexis Bodiot, l'an dernier, pour être notre capitaine de route, et il a porté le groupe vers le haut. On a eu quelques loupés, mais des coureurs comme Harakhavik ont bien marché. Il va vite, tout comme Vincent Louiche, et ont marqué des points importants cette saison".
Traditionnellement porté par des coureurs venus de loin, le CC Villeneuve-Saint-Germain aborde l'automne avec plus de sérénité qu'à l'accoutumée, en vue de la prochaine saison. "Le club a une longue tradition de travail avec les coureurs étrangers, commente Christophe Eloy. C'était un vivier polonais il y a une vingtaine d'années, mais plus récemment, on a vu des coureurs comme Joeaar faire beaucoup pour le club. Cette année, c'était au tour de Uladzimir (Harakhavik). C'est toujours un risque, car les coureurs ne se sentent pas toujours tous très bien chez nous, mais c'est une façon de fonctionner. C'est aussi assez difficile, avec la proximité de clubs comme Nogent ou Rouen. Du coup, le maintien va nous permettre d'avancer plus sereinement".
Les choses ont pourtant failli mal tourner sur l'ultime étape de la Boucle de l'Artois, avec la présence de Vadim Deslandes (Océane Top 16) dans la "bonne" échappée. "Vincent Louiche, notre meilleure carte, a été pris dans la chute au début, commente Eloy. Il a essayé de sortir par la suite, et il s'est retrouvé devant, tout comme Valentin Richard. Finalement, le groupe n'est pas parti, et un coup est sorti avec un gars du Top 16... La situation n'était pas idéale pour nous".
« C'EST TOUJOURS UN RISQUE »
Au terme d'une saison mouvementée pour le club de l'Aisne, le dénouement est pour le moins positif pour Villeneuve, qui a pu compter sur de solides leaders. "C'est compliqué à gérer, admet le directeur sportif du club. Il ne faut pas avoir d'ennui, les manches sont parfois loin. Certains coureurs préfèrent avoir des objectifs différents... On avait recruté Alexis Bodiot, l'an dernier, pour être notre capitaine de route, et il a porté le groupe vers le haut. On a eu quelques loupés, mais des coureurs comme Harakhavik ont bien marché. Il va vite, tout comme Vincent Louiche, et ont marqué des points importants cette saison".
Traditionnellement porté par des coureurs venus de loin, le CC Villeneuve-Saint-Germain aborde l'automne avec plus de sérénité qu'à l'accoutumée, en vue de la prochaine saison. "Le club a une longue tradition de travail avec les coureurs étrangers, commente Christophe Eloy. C'était un vivier polonais il y a une vingtaine d'années, mais plus récemment, on a vu des coureurs comme Joeaar faire beaucoup pour le club. Cette année, c'était au tour de Uladzimir (Harakhavik). C'est toujours un risque, car les coureurs ne se sentent pas toujours tous très bien chez nous, mais c'est une façon de fonctionner. C'est aussi assez difficile, avec la proximité de clubs comme Nogent ou Rouen. Du coup, le maintien va nous permettre d'avancer plus sereinement".