Ellen VAN DIJK

Pays-Bas

Médaillée de bronze

« Je suis contente de ce podium. Je ne m’y attendais pas forcément il y a encore quelques jours, puisque je ne pensais même pas nécessairement être sélectionnée pour le Mondial chrono. Ce n’était pas prévu comme ça. Je suis sans doute partie trop doucement, trop prudemment. Tout le temps que j’ai perdu sur ce chrono, c’est sur la première partie de la course que je l’ai perdu. Je me dis que j’aurais sûrement été capable d’en mettre plus sur les premiers kilomètres, mais on ne peut pas revenir en arrière. Cette mauvaise gestion de mon chrono me laisse des regrets. Mais de façon plus générale, je suis quand même heureuse du résultat en tant que tel. 3e, c’est bien.  Je suis très heureuse pour Anna (Van der Breggen). Elle le mérite. Faire le doublé après le Tour d’Italie, c’est beau.

Je vais maintenant me tourner vers la course en ligne de samedi. Comme tous les ans, on sera l’une des équipes les plus attendues. On essaiera de décrocher un nouveau maillot arc-en-ciel pour l’équipe et pour le pays. On aura un groupe très solide une nouvelle fois ».

E. VAN DIJK

Sara VAN DE VEL

Belgique

33e à 4’23’’

« Je suis satisfaite. Je ne me sentais pas bien pendant l’échauffement. Je suis donc très heureuse d’avoir retrouvé des sensations pendant la course. C’est un parcours qui me convenait bien. Avant le départ, je m’étais donnée comme seul objectif de profiter de cette expérience, et c’est donc réussi.

J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de monde sur le parcours, malgré les conditions de ces Mondiaux. L’ambiance, notamment dans le final, est vraiment bonne ».

S. VAN DE VEL

Ann-Sophie DUYCK

Belgique

34e à 4’46’’

« Le parcours peut sembler difficile si on n'a pas de très bonnes jambes. Quand on est bien, il est possible de basculer avec de la vitesse, et de cette manière, gagner du temps et de la vitesse. Moi, malheureusement, je n'étais pas très bien aujourd'hui (jeudi).

La préparation s'est pourtant bien déroulée. J'aimais le circuit proposé. J'ai pris un bon départ, mais après une dizaine de kilomètres, je n'avais plus la possibilité de mettre de la puissance. Au fur et à mesure du chrono, mes temps se sont éloignés de ceux attendus. Je voulais vraiment donner le meilleur de moi-même. Courir sous les couleurs nationales, c'est une grande fierté. J'avais vraiment espéré connaître un bon jour. C'est triste ».

A. DUYCK