Kévin VAUQUELIN

Arkéa-B&B Hôtels

5e du classement général à 1'08''

« Je voulais faire la bonification parce que j’étais dans la même seconde que Jordan Jegat au général. On ne va pas cracher sur une place au général. J’ai tenté, je me suis un peu débloqué et je me suis testé. On joue au vélo donc c’était le moment de le faire.

Dans le final, c’était plutôt homogène. Je voulais bien faire le kilomètre ou quelque chose comme ça, mais il y avait vent de face, je ne pouvais pas me battre. J’avais un peu peur dans la descente. J’ai encore mes récentes chutes dans la tête donc il faut que ça passe. Comme je l’ai dit hier, je n’ai pas envie de prendre de risques pour la Vuelta.

C’est une semaine plutôt correcte. 6e d’une étape avec une arrivée au sommet, 5e du général c’est plutôt bien. C’était une bonne préparation. On a fait les kilomètres. C’était dur, usant. La préparation est bonne, c’est satisfaisant.

Il (Romain Grégoire) a montré qu’il était costaud. Il s’est entraîné. Je le connais, il est très sérieux comme tous les coureurs. Respect. C’est un coursier, un compétiteur, il veut gagner et il le fait de très belle manière. Les arrivées étaient dans son registre, très punchy, lactique. Félicitations à lui, il a fait ce qu’il fallait avec ses capacités ».

K. VAUQUELIN

Tom MAINGUENAUD

Van Rysel-Roubaix

Vainqueur du classement des sprints intermédiaires

« Le maillot des sprints était assuré mathématiquement avant l’étape, il suffisait de finir la course pour le ramener. J’ai travaillé pour l’équipe et dans le dernier tour, je me suis écarté pour finir tranquillement.

Je suis satisfait de partir avec le maillot. Ce n’était pas forcément un objectif, mais ça l’est devenu au fil des jours. C’est un bel objectif, surtout que c’est compliqué d’aller chercher une victoire. Un maillot comme ça est plus accessible. C’est bien pour moi et pour l’équipe.

J'étais content de venir ici, ce sont des routes que j’aime et qui me correspondent bien. Maintenant, direction le Tour Poitou-Charentes qui me tient très à cœur puisqu’il passe à quinze kilomètres de chez moi ».

T. MAINGUENAUD