Justin Paroz : « Avoir une sélection en 2016 »
Crédit photo Nicolas Gachet - DirectVelo.com
Espoir 2e année, Justin Paroz découvre le niveau Elite en 2016. "En Suisse, en sortant des Juniors, on doit faire une saison amateur et marquer des points pour passer en Elite", rappelle le Neuchatelois. Malgré une année 2015 mitigée, il a obtenu ses points "facilement".
Le grimpeur du Team Hörmann est "content" de ses débuts chez les grands. "J'ai fait un bon début de saison", apprécie le 3e du Prix de Valentin, 6e du GP des Carreleurs ou encore 12e du Tour du Piémont Vosgien (Elite Nationale).
En mode découverte, Justin Paroz n'a pas coché de rendez-vous précis. "Je ne connais pas encore vraiment le niveau Elite", insiste-t-il. Avant de préciser : "Comme je suis léger et petit, les courses avec des bosses me correspondent mieux".
En 2016, le Romand souhaite prendre de l'expérience. Son souhait ? Franchir les étapes petit à petit. Son compatriote Alexandre Ballet a quitté l'hiver dernier le Team Hörmann pour la France et le CC Etupes. Se voit-il prendre une trajectoire similaire ? "C'est trop tôt pour le dire. A ce jour, je suis bien en Suisse." Avec son équipe, Justin Paroz traverse régulièrement la frontière française. "Si on retire les courses de côte et les critériums, le nombre de courses est vraiment faible chez nous", regrette-t-il.
Sélectionné au GP Patton 2014, en Juniors, Justin Paroz aimerait reporter le maillot de la sélection suisse. "C'est mon souhait pour 2016, avoir une sélection", assure-t-il conscient que le niveau est élevé avec notamment un coureur comme Patrick Muller (BMC Development Team) et des Espoirs 1 talentueux comme Gino Mader.
Pour se faire remarquer, il espère bien faire ce samedi sur le Tour de Berne (1.2). "Il y a des grosses équipes au départ", note celui qui a été malchanceux le week-end dernier - chute à Lucerne et non-classé à Merdingen pour dossard non-visible.
Le Suisse est déjà tourné vers juin. "Je vais couper un peu ces prochains jours pour les examens scolaires". Viendra ensuite le Tour Nivernais Morvan, toujours en France, pour préparer le Championnat de Suisse, chrono et en ligne. Un rendez-vous intéressant pour taper dans l’œil du sélectionneur national, Danilo Hondo.
Le grimpeur du Team Hörmann est "content" de ses débuts chez les grands. "J'ai fait un bon début de saison", apprécie le 3e du Prix de Valentin, 6e du GP des Carreleurs ou encore 12e du Tour du Piémont Vosgien (Elite Nationale).
En mode découverte, Justin Paroz n'a pas coché de rendez-vous précis. "Je ne connais pas encore vraiment le niveau Elite", insiste-t-il. Avant de préciser : "Comme je suis léger et petit, les courses avec des bosses me correspondent mieux".
En 2016, le Romand souhaite prendre de l'expérience. Son souhait ? Franchir les étapes petit à petit. Son compatriote Alexandre Ballet a quitté l'hiver dernier le Team Hörmann pour la France et le CC Etupes. Se voit-il prendre une trajectoire similaire ? "C'est trop tôt pour le dire. A ce jour, je suis bien en Suisse." Avec son équipe, Justin Paroz traverse régulièrement la frontière française. "Si on retire les courses de côte et les critériums, le nombre de courses est vraiment faible chez nous", regrette-t-il.
Sélectionné au GP Patton 2014, en Juniors, Justin Paroz aimerait reporter le maillot de la sélection suisse. "C'est mon souhait pour 2016, avoir une sélection", assure-t-il conscient que le niveau est élevé avec notamment un coureur comme Patrick Muller (BMC Development Team) et des Espoirs 1 talentueux comme Gino Mader.
Pour se faire remarquer, il espère bien faire ce samedi sur le Tour de Berne (1.2). "Il y a des grosses équipes au départ", note celui qui a été malchanceux le week-end dernier - chute à Lucerne et non-classé à Merdingen pour dossard non-visible.
Le Suisse est déjà tourné vers juin. "Je vais couper un peu ces prochains jours pour les examens scolaires". Viendra ensuite le Tour Nivernais Morvan, toujours en France, pour préparer le Championnat de Suisse, chrono et en ligne. Un rendez-vous intéressant pour taper dans l’œil du sélectionneur national, Danilo Hondo.
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