Julien Bernard : « Mon premier Mondial ! »
Crédit photo Régis Garnier - DirectVelo
Julien Bernard enchaîne les découvertes. Après le Tour de France (35e) en juillet dernier, le coureur de Trek-Segafredo va découvrir à 26 ans le Championnat du Monde. "Il y a un peu de stress car ça reste un Mondial. C'est mon premier ! Ce n'est pas une course anodine. On a tous un bon stress qui va nous tirer vers le haut. J'ai hâte d'être à demain", reconnaissait-il auprès de DirectVelo ce samedi midi à l'issue de la reconnaissance du contre-la-montre par équipes.
« JE SUIS DEVENU UN BON ROULEUR »
Professionnel depuis quatre saisons, il n'avait jusqu'à cette année jamais été retenu pour ce rendez-vous. "Ça montre que je suis devenu un bon rouleur. Pour être au départ du Championnat du Monde du chrono par équipes, il vaut mieux être un bon rouleur quand même, sourit-il. Je suis content d'avoir travaillé cette qualité qui me faisait un peu défaut à mes débuts chez les pros. C'est aussi la preuve que l'équipe me fait confiance pour ce type d'effort".
Le 9e du Championnat de France du contre-la-montre apprécie l'exercice. "Sur un chrono par équipes, j'aime le fait de devoir garder la vitesse" fait-il savoir. La durée de l'effort, plus d'une heure ce dimanche, plaît au Bourguignon. "C'est un effort long, comme monter un col, indique-t-il. En fait, j'ai toujours bien aimé cet exercice".
« FAIRE MIEUX QUE L'AN DERNIER »
Julien Bernard fait partie des quatre coureurs qui devront finir le boulot alors qu'une bosse difficile attend les concurrents en fin de chrono. "La bosse est assez dure. L'équipe a été construite avec deux gros rouleurs et quatre gars plus grimpeurs. Tout le monde est bien motivé. Nous sommes très contents d'y participer. Le contre-la-montre par équipes est important dans les courses par étapes alors autant encore bien le bosser ici. Le but est aussi de se tester par rapport aux meilleurs".
Alors que peut espérer la formation WorldTour face aux grosses armadas ? L'an passé, l'équipe avait terminé à la 12e place. "L'objectif est de faire un meilleur résultat. Nous avons les cartes cette année pour bien faire. Nous n'allons pas gagner mais nous visons un bon classement. C'est difficile de dire une place, mais 6e ou 7e, ça serait une bonne performance pour nous. Ça serait beaucoup mieux que l'an passé", conclut Julien Bernard.
« JE SUIS DEVENU UN BON ROULEUR »
Professionnel depuis quatre saisons, il n'avait jusqu'à cette année jamais été retenu pour ce rendez-vous. "Ça montre que je suis devenu un bon rouleur. Pour être au départ du Championnat du Monde du chrono par équipes, il vaut mieux être un bon rouleur quand même, sourit-il. Je suis content d'avoir travaillé cette qualité qui me faisait un peu défaut à mes débuts chez les pros. C'est aussi la preuve que l'équipe me fait confiance pour ce type d'effort".
Le 9e du Championnat de France du contre-la-montre apprécie l'exercice. "Sur un chrono par équipes, j'aime le fait de devoir garder la vitesse" fait-il savoir. La durée de l'effort, plus d'une heure ce dimanche, plaît au Bourguignon. "C'est un effort long, comme monter un col, indique-t-il. En fait, j'ai toujours bien aimé cet exercice".
« FAIRE MIEUX QUE L'AN DERNIER »
Julien Bernard fait partie des quatre coureurs qui devront finir le boulot alors qu'une bosse difficile attend les concurrents en fin de chrono. "La bosse est assez dure. L'équipe a été construite avec deux gros rouleurs et quatre gars plus grimpeurs. Tout le monde est bien motivé. Nous sommes très contents d'y participer. Le contre-la-montre par équipes est important dans les courses par étapes alors autant encore bien le bosser ici. Le but est aussi de se tester par rapport aux meilleurs".
Alors que peut espérer la formation WorldTour face aux grosses armadas ? L'an passé, l'équipe avait terminé à la 12e place. "L'objectif est de faire un meilleur résultat. Nous avons les cartes cette année pour bien faire. Nous n'allons pas gagner mais nous visons un bon classement. C'est difficile de dire une place, mais 6e ou 7e, ça serait une bonne performance pour nous. Ça serait beaucoup mieux que l'an passé", conclut Julien Bernard.
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