Cyrille Patoux (VC Rouen 76) s'est imposé au sprint, sur le Circuit des 2 Provinces, au Pertre. Retrouvez ci-dessous les réactions des principaux protagonistes de l'épreuves.

Jean-Philippe Yon (Directeur sportif du VC Rouen 76)
« Cyril Patoux a sorti le sprint de sa carrière. C'est un coureur qui se découvre sur le tard, il a 24 ans. On avait dit au départ que si ça arrivait au sprint, ce serait lui notre sprinteur. »

Cyrille Patoux (VC Rouen 76)
Vainqueur du Circuit des 2 Provinces
« C'est ma troisième victoire de l'année. En début de saison, j'avais gagné une manche du Circuit des Plages Vendéennes au sprint, devant un groupe de quinze coureurs. J'attendais le sprint, ce n'était pas mon rôle de rouler pendant la course. »

Sylvain Georges (Creusot Cyclisme)
Deuxième du Circuit des 2 Provinces
« J'ai lancé le sprint aux 500m. Sur un sprint comme ça, vent de face et en montée, je peux tenir la cadence sur cette distance. Cyril Patoux était dans ma roue mais je n'ai pas fait attention à lui. Je me suis retourné sur la droite et il est passé à gauche. Je suis à la fois satisfait et déçu. Satisfait parce que je marque beaucoup de points pour la Coupe de France, mais déçu parce qu'on ne retient que le vainqueur. En début d'année, la Coupe de France était notre gros objectif, au Creusot. Pour préparer cette manche, j'ai courru 12 courses en 20 jours. J'espère toujours repasser pro, mais malgré mes 9 victoires, je n'ai aucun contact. »

Julien Antomarchi (VC La Pomme Marseille)
117ème, présent dans la principale échappée
« Il fallait tenter d'attaquer, mais ça n'a pas réussi. Dans l'échappée, on a essayé de faire en sorte que tout le monde passe bien. J'ai fais ma part de travail, ni plus ni moins. Je suis un peu déçu parce que la Pomme ne marque pas de points. c'est peut-être parce qu'il y avait une trop grosse échappée devant que ça arrive au sprint. »

Arnaud Courteille (U Nantes Atlantique)
86ème, présent dans la principale échappée
« On était trop nombreux dans l'échappée pour qu'il y ait une bonne organisation. Quand Julien Antomarchi et Julien Foisnet ont attaqué, ça ne s'est plus entendu derrière. Les manches de la Coupe de France, cette année, sont souvent arrivées au sprint. On avait Julien Gonnet pour le sprint, mais sur la fin, j'étais tellement fatigué que je n'ai pas pu l'aider. »