Stefan Bennett rêvait du sud-ouest
Crédit photo DirectVelo
Objectifs atteints pour Stefan Bennett. Auteur d'une saison pleine avec la formation du POC Côte de Lumière (18 Top 10 en 2016, NDLR), il pouvait espérer viser plus haut en vue de l'exercice 2017. Et en terme d'ambitions, le coureur anglais savait exactement ce qu'il voulait. "Je désirais évoluer dans une DN1 et être avec ma copine qui fait ses études sur Toulouse. Et, enfin, je voulais un calendrier un peu plus montagneux. Ces différents facteurs ont accéléré mon choix", résume-t-il pour DirectVelo.
BLAGNAC, LE CHOIX NUMERO UN
En plus d'évoluer en DN1, Stefan Bennett rêvait donc du sud-ouest. Autant dire que le choix du Britannique était limité. Rapidement, le GSC Blagnac-Vélo Sport 31 a eu la préférence de Bennett. Encore fallait-il que le club de Haute-Garonne souhaite s'offrir ses services. Bennett a délégué la tâche de la mutation à son entraineur Floréal Campos. "Il me connait mieux que personne et prend les choses avec beaucoup plus de recul que moi", explique-t-il avant de détailler cette période. "Il me répétait tout le temps qu’il me fallait un gros résultat pour mettre toutes les chances de mon côté".
Déjà auteur de performances remarquées durant le Printemps, Stefan Bennett fait encore plus parler de lui début juillet, en prenant la troisième place de Manche-Océan, en Elite Nationale (voir classement). "Après ce podium, j'ai demandé en rigolant à Floréal si c’était bon. Il m’a répondu d’attendre encore car il pensait que j’allais faire d’autres gros résultats rapidement, et il a eu raison", s’amuse celui qui a finalement pu signer avec Blagnac après de nouvelles places d'honneur dont deux Top 10 sur la Classique Champagne-Ardenne (CDF DN2, 8e) et l'Estivale Bretonne (10e).
SEDUIRE UNE EQUIPE PROFESSIONNELLE
Bennett s’est donc installé dans la ville rose au mois d’octobre. Et il s'en réjouit. "Je découvre une nouvelle région et une nouvelle ville, j’adore changer de routes d’entrainement et être tout proche des Pyrénées. C’est une nouvelle aventure qui commence", s’enthousiasme-t-il. Après trois saisons passées en Vendée où il dit avoir "tout appris", le coureur de 24 ans a néanmoins eu du mal à quitter ses coéquipiers qui étaient devenus "de vrais amis". Le premier stage de cohésion du GSC Blagnac-Vélo Sport 31, fin novembre, lui a permis de découvrir "une ambiance familiale, la base de la réussite", selon lui.
Aux côtés de Yoan Verardo ou Flavien Maurelet, avec qui il s’entraine déjà, Stefan Bennett a la volonté de "continuer à apprendre" et de prouver ce dont il est capable "individuellement et collectivement". S’il souhaite discuter d’abord avec Sylvain Blanquefort pour connaître ses attentes, il conserve un objectif final bien précis : "Inévitablement, celui de séduire une équipe professionnelle".
BLAGNAC, LE CHOIX NUMERO UN
En plus d'évoluer en DN1, Stefan Bennett rêvait donc du sud-ouest. Autant dire que le choix du Britannique était limité. Rapidement, le GSC Blagnac-Vélo Sport 31 a eu la préférence de Bennett. Encore fallait-il que le club de Haute-Garonne souhaite s'offrir ses services. Bennett a délégué la tâche de la mutation à son entraineur Floréal Campos. "Il me connait mieux que personne et prend les choses avec beaucoup plus de recul que moi", explique-t-il avant de détailler cette période. "Il me répétait tout le temps qu’il me fallait un gros résultat pour mettre toutes les chances de mon côté".
Déjà auteur de performances remarquées durant le Printemps, Stefan Bennett fait encore plus parler de lui début juillet, en prenant la troisième place de Manche-Océan, en Elite Nationale (voir classement). "Après ce podium, j'ai demandé en rigolant à Floréal si c’était bon. Il m’a répondu d’attendre encore car il pensait que j’allais faire d’autres gros résultats rapidement, et il a eu raison", s’amuse celui qui a finalement pu signer avec Blagnac après de nouvelles places d'honneur dont deux Top 10 sur la Classique Champagne-Ardenne (CDF DN2, 8e) et l'Estivale Bretonne (10e).
SEDUIRE UNE EQUIPE PROFESSIONNELLE
Bennett s’est donc installé dans la ville rose au mois d’octobre. Et il s'en réjouit. "Je découvre une nouvelle région et une nouvelle ville, j’adore changer de routes d’entrainement et être tout proche des Pyrénées. C’est une nouvelle aventure qui commence", s’enthousiasme-t-il. Après trois saisons passées en Vendée où il dit avoir "tout appris", le coureur de 24 ans a néanmoins eu du mal à quitter ses coéquipiers qui étaient devenus "de vrais amis". Le premier stage de cohésion du GSC Blagnac-Vélo Sport 31, fin novembre, lui a permis de découvrir "une ambiance familiale, la base de la réussite", selon lui.
Aux côtés de Yoan Verardo ou Flavien Maurelet, avec qui il s’entraine déjà, Stefan Bennett a la volonté de "continuer à apprendre" et de prouver ce dont il est capable "individuellement et collectivement". S’il souhaite discuter d’abord avec Sylvain Blanquefort pour connaître ses attentes, il conserve un objectif final bien précis : "Inévitablement, celui de séduire une équipe professionnelle".
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