Tom Dernies prêt à se montrer sur tous les terrains
La saison prochaine, Tom Dernies découvrira le niveau Continental Pro avec l'équipe WB Veranclassic Aquality Protect, le nouveau nom de la formation Wallonie-Bruxelles. A 25 ans, il fait déjà figure d'ancien dans l'équipe de Christophe Brandt. "Mis à part la première saison, je suis présent depuis le début de l'aventure", rappelle-t-il à DirectVelo.
Cette saison, la stratégie de Wallonie-Bruxelles reposait essentiellement sur la protection Baptiste Planckaert, que chacun de ses équipiers se devait de mettre dans les meilleures conditions pour le final d'une épreuve ou lors d'un sprint massif. "Ce fut un réel plaisir de rouler pour lui car on savait qu'il terminerait au pire dixième de la course. Quand on a un coureur de cette qualité dans un groupe, il n'y a pas à hésiter sur la stratégie de course." Ce qui n'a pas empêché le vainqueur du classement des monts du Tour de l'Eurométropole 2014 de progresser en 2016. "J'ai connu un départ compliqué avec une pneumonie (lire ici). A partir du stage à Livigno en juillet, j'ai senti que la forme revenait et que je passais un cap. Auparavant, j'aurais été incapable de prendre du vent, comme je l'ai fait sur certaines courses", affirme le 7e du Tour du Doubs 2015.
LES CLASSIQUES WALLONNES DANS LE VISEUR
Baptiste Planckaert parti dans le World Tour chez Katusha-Alpecin, l'équipe sera plus "ouverte", et davantage de coureurs pourront se mettre en évidence. "Nous aurons un noyau élargi. Nous ne remplacerons pas Baptiste Planckaert individuellement mais par deux ou trois coureurs. Nous aurons besoin de tout le monde car nous aurons un programme de course plus conséquent. Sur les grandes courses, il sera également important de montrer le maillot, ne serait-ce que pour les partenaires."
En parlant de grandes courses, Tom Dernies pense notamment aux classiques wallonnes auxquelles il aimerait participer. "Ce n'est pas une fixation. Les classiques flamandes me plaisent également, au même titre que des courses par étapes en Espagne. Maintenant, il faudra voir au niveau des invitations. Participer à une Flèche Wallonne à quelques kilomètres de la maison serait quand même assez particulier, tout comme la Doyenne (Liège-Bastogne-Liège, NDLR) sur laquelle mon père Michel a pris la deuxième place il y a 18 ans. Réaliser un bon résultat sur cette course serait juste un rêve", conclut-il.
Cette saison, la stratégie de Wallonie-Bruxelles reposait essentiellement sur la protection Baptiste Planckaert, que chacun de ses équipiers se devait de mettre dans les meilleures conditions pour le final d'une épreuve ou lors d'un sprint massif. "Ce fut un réel plaisir de rouler pour lui car on savait qu'il terminerait au pire dixième de la course. Quand on a un coureur de cette qualité dans un groupe, il n'y a pas à hésiter sur la stratégie de course." Ce qui n'a pas empêché le vainqueur du classement des monts du Tour de l'Eurométropole 2014 de progresser en 2016. "J'ai connu un départ compliqué avec une pneumonie (lire ici). A partir du stage à Livigno en juillet, j'ai senti que la forme revenait et que je passais un cap. Auparavant, j'aurais été incapable de prendre du vent, comme je l'ai fait sur certaines courses", affirme le 7e du Tour du Doubs 2015.
LES CLASSIQUES WALLONNES DANS LE VISEUR
Baptiste Planckaert parti dans le World Tour chez Katusha-Alpecin, l'équipe sera plus "ouverte", et davantage de coureurs pourront se mettre en évidence. "Nous aurons un noyau élargi. Nous ne remplacerons pas Baptiste Planckaert individuellement mais par deux ou trois coureurs. Nous aurons besoin de tout le monde car nous aurons un programme de course plus conséquent. Sur les grandes courses, il sera également important de montrer le maillot, ne serait-ce que pour les partenaires."
En parlant de grandes courses, Tom Dernies pense notamment aux classiques wallonnes auxquelles il aimerait participer. "Ce n'est pas une fixation. Les classiques flamandes me plaisent également, au même titre que des courses par étapes en Espagne. Maintenant, il faudra voir au niveau des invitations. Participer à une Flèche Wallonne à quelques kilomètres de la maison serait quand même assez particulier, tout comme la Doyenne (Liège-Bastogne-Liège, NDLR) sur laquelle mon père Michel a pris la deuxième place il y a 18 ans. Réaliser un bon résultat sur cette course serait juste un rêve", conclut-il.