Tour de La Provence - Et. 2 : Les réactions
Bryan Coquard (Cofidis) a remporté, ce samedi, la deuxième étape du Tour de La Provence (2.Pro), disputée sur 180,5 kilomètres entre Arles (Bouches-du-Rhône) et Manosque (Alpes-de-Haute-Provence). Il a devancé Julian Alaphilippe (Quick-Step Alpha Vinyl) et Filippo Ganna (INEOS Grenadiers). Ce dernier conserve la tête du classement général (voir classements). Aller à la réaction de : « Je termine complètement détruit. Plusieurs gars qui connaissaient les routes disaient que ça serait très dur aujourd'hui (samedi). Terminer derrière un grand nom comme "Loulou" (Julian Alaphilippe, NDLR) est incroyable. Ce matin, je n'avais pas très bien récupéré après les deux premiers jours. Mais après tout le travail de Salvatore Puccio en tête de peloton, je me devais de faire le maximum à l'arrivée. « Pour l’instant, ça va. J’ai fait un chrono correct dans le temps des autres grimpeurs. Hier (samedi), je pense que j’ai fait une bonne étape. C’était important d’être devant parce que sinon le général allait être complètement foutu. Maintenant, je suis en solide position, j’attends de voir demain (dimanche) comment vont réagir les jambes. Je ne sais pas trop où je me situe en montée. Je pense qu’il y a des bonnes choses à faire. C’est une ascension longue et régulière. La pente est dure mais pas excessivement. Il faudra voir s’il y a du vent de face. Ça peut être assez stratégique. Il faudra saisir les opportunités qui vont se présenter.
Retrouvez ci-dessous les réactions recueillies par DirectVelo.Réactions
J'ai sprinté pour gagner l'étape, pas pour défendre mon maillot, mais les deux premiers étaient trop forts. Demain, ce sera pour les grimpeurs mais j'essaierai d'être le plus près possible. Ce sera un test pour moi ».
Cette édition du Tour de la Provence est plus ouverte, il y a une moins grosse densité. Je pense que ça va quand même être une course de grimpeurs parce que la montée va excéder 30 minutes. En début de saison, les hommes forts seront devant. Il y a pas mal de grimpeurs en embuscade. C’est difficile de dire si quelqu’un va vraiment sortir du lot demain. On n’a pas encore vraiment fait de cols ».