GP 1 Mei : Les réactions

Coen Vermeltfoort (CT De Rijke-Shanks) a remporté ce mercredi la 86e édition du GP 1 Mei - Ereprijs Victor De Bruyne (1.2), disputée sur 170 kilomètres autour de Hoboken en province d'Anvers.  L'équipe CT De Rijke-Shanks a réalisé le triplé sur cette épreuve puisque Mats Boeve et Yoeri Havik occupent les deux autres marches du podium. Le Néerlandais succède au palmarès de la course à Christophe Prémont (Wallonie-Bruxelles) qui est passé chez Crelan-Euphony durant cet hiver. Retrouvez ci-dessous les réactions des autres protagonistes de la course. La réaction du vainqueur est à retrouver en vidéo en cliquant ici.

Wouter Wippert (Team 3M)
6e
« J'étais parfaitement placé à 500m de l'arrivée juste derrière les trois coureurs de CT De Rijke. Au moment de faire l'effort, ma chaine a sauté. Je n'ai donc pas pu défendre mes chances comme prévu. C'est vraiment pas de chance. Je tiens à me rattraper au Ronde van Overijssel qui a lieu près de chez moi. C'est la première fois que je participe à cette course. Je veux réussir un beau sprint. Cela fait deux ou trois semaines que notre équipe est très proche de la victoire. Malheureusement, c'est à chaque fois raté. La pression de la première victoire commence à se faire sentir. »

Jeroen Goudket (Rock Werchter)
111e et membre de la principale échappée
« Je roulais presque à domicile car j'habite à huit kilomètres de Hoboken. Par contre, je ne viens pas m'entrainer sur ces routes. Aujourd'hui, le peloton roulait très vite. C'est pour cette raison que personne ne pouvait rester devant. En ce qui me concerne, je me suis retrouvé à deux reprises aux avant-postes. La deuxième fois, je suis revenu sur le groupe qui se formait en compagnie de Stijn Van Roy. A neuf, nous avons vraiment cru que nous pouvions aller au bout. Tout le monde jouait le jeu à fond et prenait de bons relais. Malheureusement, dans la dernière partie du circuit, le peloton nous tenait en ligne de mire. De plus, le vent soufflait de face. Dans l'ensemble, notre équipe a bien roulé aujourd'hui. »

Propos recueillis par Laurens Soenen et Francis Spruyt.
 

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