Classe 2 ou DN2, les Rhônalpins n'ont pas choisi
Crédit photo Kim Caritoux
Le week-end est chargé pour les clubs de DN2 rhonalpins. Entre le Rhône-Alpes Isère Tour (2.2) et la 2e manche de la Coupe de France DN2, les Boucles Nationales du Printemps, ils n'ont pas voulu choisir.
IMPOSSIBLE DE REFUSER
"Nous sommes invités depuis quatre ans au Rhône-Alpes Isère Tour C'est une chance qu'il faut respecter", estime Christian Milesi, le directeur sportif de Bourg-en-Bresse Ain Cyclisme. Son homologue du VC Villefranche Beaujolais, Anthony Barle, confirme : "C'est super important d'être là, c'est notre 6e année sur la course. On ne veut pas la louper !"
Pour les clubs, la Coupe de France DN2 est "un passage obligé". A Bourg, c'est "l'objectif de l'année". Et le VC Villefranche Beaujolais a annoncé dans l'hiver l'objectif de monter en DN1. Alors comment faire deux fronts compétitifs ? "C'est un week-end de paris, il faut mettre les coureurs clés sur les deux courses", dit Milesi. "La Coupe de France est super importante mais on ne se voyait pas venir au RAIT à moitié, avec une équipe pas compétitive. En résumé, il faut avoir 12 Elites et pas un malade", résume Barle.
POSSIBLE DE BRILLER SUR LES DEUX FRONTS
Ce samedi, la 1ère étape des Boucles Nationales du Printemps a été compliquée pour les trois clubs rhonalpins. Seul Villefranche est rentré dans les points (voir ici). Mais briller sur les deux rendez-vous est possible. En 2015, Bourg avait remporté les Boucles Nationales du Printemps grâce à Simon Buttner et terminé 15e du Rhône-Alpes Isère Tour avec Zydrunas Savickas.
"Cette année, nous avons des blessés dans l'effectif. Il est donc difficile d'aligner douze coureurs compétitifs. On ne regrette pas notre choix, assure Christian Milesi. Il était cohérent jusqu'à la semaine dernière. Il semble que le bilan du week-end laisse penser que cela ne l'était pas forcément. C'est formateur pour tout le monde et respectueux des organisateurs. Puis le vélo est fait de week-ends avec et de week-ends sans...
LES LEADERS AU RHONE-ALPES ISERE TOUR
Les trois structures rhonalpines ont fait un choix identique en alignant leur leader sur le Rhône-Alpes Isère Tour : Rudy Kowalski (Charvieu-Chavagneux IC), Zydrunas Savickas (Bourg-en-Bresse Ain Cyclisme) et Bastien Duculty (VC Villefranche Beaujolais). Les trois coureurs ont le même objectif : être chez les professionnels en 2017. "Pour Bastien, c'est sur ce type de course que cela peut se faire. Il doit montrer qu'il a sa place au-dessus", dit Barle dont le leader est 9e du classement général au départ de la dernière étape.
Pour Savickas, la semaine a été compliquée avec un abandon le samedi. "Il avait un gros mois de podiums dans la musette. On sait que courir avec les pros, c'est le meilleur moyen de séduire un manager. Maintenant, c'est clair que c'est un rendez-vous manqué, regrette Christian Milesi. Il était en fin de cycle. Il a "pris" une douleur au genou. C'est une blessure souvent liée à la fatigue. Il va couper, cela arrive au mauvais moment. Cela donne des regrets sur des choix mais il y avait des belles courses auparavant. Cela ne remet pas en cause ce qu'il a fait avant même si cela ne valide pas, devant les pros, ce qu'il a pu faire. Marcher lui aurait donné un vrai coup de pouce. Mais il n'a que 24 ans. Il est l'un des meilleurs amateurs en France. Il est de plus en plus régulier."
IMPOSSIBLE DE REFUSER
"Nous sommes invités depuis quatre ans au Rhône-Alpes Isère Tour C'est une chance qu'il faut respecter", estime Christian Milesi, le directeur sportif de Bourg-en-Bresse Ain Cyclisme. Son homologue du VC Villefranche Beaujolais, Anthony Barle, confirme : "C'est super important d'être là, c'est notre 6e année sur la course. On ne veut pas la louper !"
Pour les clubs, la Coupe de France DN2 est "un passage obligé". A Bourg, c'est "l'objectif de l'année". Et le VC Villefranche Beaujolais a annoncé dans l'hiver l'objectif de monter en DN1. Alors comment faire deux fronts compétitifs ? "C'est un week-end de paris, il faut mettre les coureurs clés sur les deux courses", dit Milesi. "La Coupe de France est super importante mais on ne se voyait pas venir au RAIT à moitié, avec une équipe pas compétitive. En résumé, il faut avoir 12 Elites et pas un malade", résume Barle.
POSSIBLE DE BRILLER SUR LES DEUX FRONTS
Ce samedi, la 1ère étape des Boucles Nationales du Printemps a été compliquée pour les trois clubs rhonalpins. Seul Villefranche est rentré dans les points (voir ici). Mais briller sur les deux rendez-vous est possible. En 2015, Bourg avait remporté les Boucles Nationales du Printemps grâce à Simon Buttner et terminé 15e du Rhône-Alpes Isère Tour avec Zydrunas Savickas.
"Cette année, nous avons des blessés dans l'effectif. Il est donc difficile d'aligner douze coureurs compétitifs. On ne regrette pas notre choix, assure Christian Milesi. Il était cohérent jusqu'à la semaine dernière. Il semble que le bilan du week-end laisse penser que cela ne l'était pas forcément. C'est formateur pour tout le monde et respectueux des organisateurs. Puis le vélo est fait de week-ends avec et de week-ends sans...
LES LEADERS AU RHONE-ALPES ISERE TOUR
Les trois structures rhonalpines ont fait un choix identique en alignant leur leader sur le Rhône-Alpes Isère Tour : Rudy Kowalski (Charvieu-Chavagneux IC), Zydrunas Savickas (Bourg-en-Bresse Ain Cyclisme) et Bastien Duculty (VC Villefranche Beaujolais). Les trois coureurs ont le même objectif : être chez les professionnels en 2017. "Pour Bastien, c'est sur ce type de course que cela peut se faire. Il doit montrer qu'il a sa place au-dessus", dit Barle dont le leader est 9e du classement général au départ de la dernière étape.
Pour Savickas, la semaine a été compliquée avec un abandon le samedi. "Il avait un gros mois de podiums dans la musette. On sait que courir avec les pros, c'est le meilleur moyen de séduire un manager. Maintenant, c'est clair que c'est un rendez-vous manqué, regrette Christian Milesi. Il était en fin de cycle. Il a "pris" une douleur au genou. C'est une blessure souvent liée à la fatigue. Il va couper, cela arrive au mauvais moment. Cela donne des regrets sur des choix mais il y avait des belles courses auparavant. Cela ne remet pas en cause ce qu'il a fait avant même si cela ne valide pas, devant les pros, ce qu'il a pu faire. Marcher lui aurait donné un vrai coup de pouce. Mais il n'a que 24 ans. Il est l'un des meilleurs amateurs en France. Il est de plus en plus régulier."