Tour de Rhuys : Les réactions
Clément Orceau (La Roche-sur-Yon Vendée Cyclisme) a remporté au sprint, ce dimanche, la 33e édition du Tour de Rhuys, quatrième et dernière manche de la Coupe de France N2, disputée sur 166 kilomètres entre Arzon et Sarzeau (Morbihan). Il a devancé Théo Cotard (WB-Fybolia Locminé) et Cyrille Patoux (ES Torigni). Clément Orceau succède à Marlon Gaillard au palmarès de l'épreuve (voir classement). Aller à la réaction de : « C'est une deuxième place heureuse. Je ne pense pas que je pouvais aller chercher la gagne. D'autant que je suis très fier de la victoire au général final de la Coupe de France avec l'équipe. On fait 2e en N3 l'année dernière, cette fois on gagne en N2. On avait des consignes. Certains devaient faire la course pour l'équipe et ne pas être à contre-temps. Moi je devais rester en retrait et garder du jus pour le sprint à la fin. J'ai pris directement la roue de Clément Orceau car il a parfaitement été amené par ses collègues. Ça me permet de virer 5e au niveau du rond-point à 400 mètres. On est tous très fier de la journée ». « Je ne visais que le sprint. J'ai fait la course il y a deux ans, on était arrivé au sprint, c'est Clément Orceau qui avait gagné et moi j'avais fait trois. Du coup même classement cette année. Ici on sait que ça roule toujours vite. Ce sont des petites routes, c'est toujours en file indienne. Malgré les petites côtes à la fin ça ne fait pas la différence et le faux plat montant jusqu'à l'arrivée, c'est dur de sortir. Emeric (Quindry) a fait du super boulot pour accompagner les coups. Pour essayer de sortir mais pas avec trop de coureurs dans le groupe.
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Heureusement qu'on est arrivé au sprint pour pouvoir marquer des points, sinon on aurait été juste. La forme est là. Je suis tous les week-ends dans les 5 premiers. J'ai la confiance, je me fais plaisir. Je voudrais bien gagner car je tourne autour à chaque fois. Je voudrais en claquer une belle. Mais avec Orceau qui va très vite je savais que ça allait être dur. Maintenant on va faire les courses qui restent, car on s'y est pris trop tard pour Paris-Vierzon, c'est complet, j'aurais bien aimé la faire ».