Manche Atlantique : Les réactions

Fabrice Jeandesboz (Besson Chaussures-Sojasun, vainqueur) : « Partir à trois pouvait paraître suicidaire, mais je n’ai pas étonné qu’on nous laisse quatre minutes vu qu’on était justement que trois. Avec toujours autant d’avance sur le circuit final, j’ai commencé à y croire. Je dédie cette victoire à Stéphane Heulot [son directeur sportif, NDLR] »

Matthieu Jeannès (BIC 2000, membre de la grande échappée du jour) : « Quand les deux coureurs de Besson Chaussures-Sojasun sont partis, j’ai bouché le trou tout seul. J’ai eu un coup de moins bien dans première monté et j’ai été lâché au train. J’ai ensuite tenté de résister le plus longtemps possible. Je suis rassuré par ma forme et j’aurai d’autres occasions de briller dans l’année. »

Franck Charrier (Team Wilo Agem 72) : « J’explique le retard du peloton par le fait qu’il y avait beaucoup de belles équipes. On s’est regardé et personne n’a voulu prendre la responsabilité de rouler derrière les trois hommes de tête. Nous étions mal placés dans le peloton et en remontant, nous avons créé une cassure mais ça n’a pas suivi derrière. C’est intéressant de situer notre niveau par rapport aux autres DN1 avant la première manche de Coupe de France Bordeaux-Saintes. »

Benoît Genauzeau (directeur sportif de Vendée U) : « Je ne comprend pas pourquoi personne n’a roulé derrière l’échappée. Ce n’était pas à nous de le faire car nous n’étions que sept alors que des équipes de dix n’ont pas levé le petit doigt. »

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