Fabien Schmidt : « Ça reste super dur »
Une de plus. Après le Tour de la Manche et le Tour d'Auvergne, Fabien Schmidt s'est offert ce lundi une nouvelle épreuve par étapes, en Elite Nationale, avec l'Estivale Bretonne. Le leader du Challenge BBB a répondu aux questions de DirectVelo.
DirectVelo : Comment as-tu vécu cette dernière étape de l'Estivale Bretonne ?
Fabien Schmidt : C'était plus difficile que la veille... Il y avait eu moins d'attaques, dimanche, sur le circuit du Ponthou. Nous étions également plus entamés que dimanche, car tout le monde avait participé à la poursuite. Aujourd'hui, nous avons été attaqués par beaucoup de coureurs. Le circuit n'était pas si plat que ça... Heureusement, toute l'équipe a tout donné et moi j'étais dans une super journée. J'allais rouler de temps en temps et je sentais que j'étais vraiment bien. Parfois, nous nous sommes neutralisés avec Alan (Riou) et ça aurait pu tourner en sa faveur. Mais j'ai réussi à tenir, c'est top.
Vous avez compté sur le soutien des équipes de sprinteurs ?
Oui, bien sûr. Avec l'écart qu'il y avait au classement général, personne n'avait vraiment intérêt à attaquer dans le final. On ne fait pas d'écart sur un circuit comme celui-là. Nous avions donc attendu du renfort...
« LA VICTOIRE DE LA MATURITÉ »
Que représente ce succès ?
C'est génial. C'est la victoire de la maturité. Par le passé, je perdais assez souvent quand j'étais leader d'une course par étapes. Maintenant, je prends le départ avec plus de sérénité quand j'ai un maillot à défendre. J'ai aussi plus de force... C'est plus facile de s'imposer mais ça reste super dur et exceptionnel.
Quel est la suite de ton programme ?
Je dispute dès ce mardi le Grand Prix de la Saint-Laurent à Montpinchon. Il me reste des belles courses à disputer d'ici la fin de saison. Je pense notamment à Plouay et à la dernière manche de la Coupe de France DN1, le Grand Prix de Blangy. Il ne me reste en revanche plus que deux courses par étapes : l'Agglo Tour et les 3 jours de Cherbourg.
DirectVelo : Comment as-tu vécu cette dernière étape de l'Estivale Bretonne ?
Fabien Schmidt : C'était plus difficile que la veille... Il y avait eu moins d'attaques, dimanche, sur le circuit du Ponthou. Nous étions également plus entamés que dimanche, car tout le monde avait participé à la poursuite. Aujourd'hui, nous avons été attaqués par beaucoup de coureurs. Le circuit n'était pas si plat que ça... Heureusement, toute l'équipe a tout donné et moi j'étais dans une super journée. J'allais rouler de temps en temps et je sentais que j'étais vraiment bien. Parfois, nous nous sommes neutralisés avec Alan (Riou) et ça aurait pu tourner en sa faveur. Mais j'ai réussi à tenir, c'est top.
Vous avez compté sur le soutien des équipes de sprinteurs ?
Oui, bien sûr. Avec l'écart qu'il y avait au classement général, personne n'avait vraiment intérêt à attaquer dans le final. On ne fait pas d'écart sur un circuit comme celui-là. Nous avions donc attendu du renfort...
« LA VICTOIRE DE LA MATURITÉ »
Que représente ce succès ?
C'est génial. C'est la victoire de la maturité. Par le passé, je perdais assez souvent quand j'étais leader d'une course par étapes. Maintenant, je prends le départ avec plus de sérénité quand j'ai un maillot à défendre. J'ai aussi plus de force... C'est plus facile de s'imposer mais ça reste super dur et exceptionnel.
Quel est la suite de ton programme ?
Je dispute dès ce mardi le Grand Prix de la Saint-Laurent à Montpinchon. Il me reste des belles courses à disputer d'ici la fin de saison. Je pense notamment à Plouay et à la dernière manche de la Coupe de France DN1, le Grand Prix de Blangy. Il ne me reste en revanche plus que deux courses par étapes : l'Agglo Tour et les 3 jours de Cherbourg.