VC Villefranche Beaujolais : « Intégrer le Top 5 »

Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo

Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo

Vainqueur en 2019, le VC Villefranche Beaujolais accorde toujours une place importante à la Coupe de France N1. C’est donc motivés que les coureurs retenus s’élanceront ce dimanche sur le Chrono 47. Le directeur sportif Aymeric Brunet fait le point avec DirectVelo.

DirectVelo : Avec quelles ambitions le club aborde-t-il ce Chrono 47 ?
Aymeric Brunet : Nous n’avons pas un objectif chiffré car nous avions été déçus ces deux dernières années (Le VCVB a fini 11e et 18e, NDLR). Le but est de bien faire et d’être dans une dynamique positive par rapport à notre 6e place à la Coupe de France. Nous avons fait des entraînements réguliers en vélo de contre-la-montre. Les coureurs sont montés très tôt sur les vélos de chrono. La dernière semaine a été prépondérante dans la préparation, avec un regroupement. Nous avons décidé de venir deux jours avant pour faire les choses bien.

Comment avez-vous établi votre sélection ?
Nous n’étions pas partis sur cette équipe au début mais comme pour tous les clubs, il y a des changements avec le Covid et des méformes. Mais globalement, l’ossature est restée la même à deux éléments près. Florent Gardella était prévu au début mais n’est pas là. Nous avons fait pas mal d'essais sur le sixième homme et c’est Lucas Avadanian qui a été choisi. Depuis deux ans, il vient au dernier moment pour compléter l’équipe. Cette foisi-ci, on lui a dit de se préparer depuis le début de l’année et il est là avec nous.

« C’EST UN PEU CONTRASTÉ »

Quelle importance donnes-tu à la Coupe de France ?
Elle reste le fil rouge de la saison même si certains diront qu’elle n’a pas une très grande valeur. On voit qu’il faut marcher sur la Coupe de France pour passer pro. Ce doit être une source de motivation pour les coureurs. Les deux premières équipes sont à des années-lumière mais l’objectif est d'intégrer le Top 5 (voir classements).

Que penses-tu de la saison de l’équipe pour le moment ?
C’est un peu contrasté. Nous avons pu gagner très tôt le Circuit de la Vallée du Bédat (avec Maximilien Juillard, NDLR), ce que nous n’avions jamais réussi à faire auparavant. Il y a aussi eu des satisfactions en Coupe de France. Et de l’autre côté, nous avons été poussifs à certains moments. C’est dû en partie aux blessures et aux maladies. On espère récupérer tout le monde pour les beaux jours. Il y a des Classes 2 qui arrivent en mai puis le Tour du Beaujolais qui arrivera rapidement derrière, avant le Championnat de France. C’est une grosse période.

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